[…] Le dernier jour d’août dernier, nous sommes allés, avec une bande de gentils virus assez déterminés (il en venait de partout, d’Avignon, de Marseille, de Trets, de Draguignan, de Bordeaux, d’Annecy !), aider Camille et ses amis démocrates, tirés au sort ou pas, dans leur petit village reculé des Cévennes, pour leur montrer qu’on les regardait toujours avec beaucoup d’attention, même de loin, et qu’on était fiers d’eux. […]
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